« Au cœur du cœur
de la rose des univers
enroulés sur eux-mêmes,
un cœur – si détaché
qu’il ressemble au sommeil
ou à l’absence – semble battre
le rassemblement des mondes,
d’un battement si faible
qu’il est attentivement égal au silence,
absorbé par un violent amour. »
Jean Mambrino