« Le temps est prisonnier d’une épine, on entend
La fleur rêver sans fin l’énigme de sa pourpre ;
C’est toujours le moment de dire ce qui veille
Sous la paupière close de l’automne.
On ajoute le rire à l’aigu des fontaines,
Une monnaie usée comme l’âme est le prix
De cette solitude aux portes de la rose. »
Marc Alyn