« Le ciel comme un grand oiseau
Vole nu
Le cœur prisonnier n’en peut plus
Et brise les barreaux
L’âme bourdonne dans la ruche…
Ce matin la vigne
Éclate au bord de la ravine…
Les saisons passent
Va l’heure est venue
Aujourd’hui de courir
À la rencontre de l’été…
Est-ce mûrir est-ce mourir
Cette douceur inconnue. »
Anne Perrier