« Encore deux ou trois rangées de briques.
Ensuite on nettoie les outils.
On se passe les mains sous l’eau, on s’essuie le visage.
La journée est terminée. Tout reste là, dans l’âtre. Gestes et paroles.
Chacun se salue et s’en va.
On pourrait attraper les hommes comme des oiseaux à cette heure-là.
Mais l’aile qui nous porte est aspirée
Par le dieu qui nous fait signe, là-bas, sur le seuil : les anges quotidiens. »
Thierry Metz