Ressemblance avec l’impossible

« Ce soir, ma prison est envahie par les cornalines du couchant.

J’accepte d’être confondue avec l’apparence ordinaire des choses

Lorsque leur aspect me prévient soudain que la métamorphose à laquelle je participe est accomplie.

La réalité stérile est celle qui n’assume aucune ressemblance avec l’impossible. »

Yanette Delétang-Tardif

Cet article a été publié dans Poésie, Théorie. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s