« Toujours seul avec toi dans la chambre de veille…
Je soulève les branches,
Tous les oiseaux descendent sur la page blanche.
Encore une forêt,
Une lampe qui passe et secoue son duvet.
Tu nous feras connaître ;
Il suffit d’allumer le ciel sous la fenêtre,
Une prunelle au bord du toit
Pour les fleurs, les enfants,
Et les mains qui ont froid. »
René Guy Cadou