« Ainsi le fil qui assemble, qui rend insécables les figures du poème, dans le retentissement préféré d’un temps présent, d’une indication instantanée, reste le plus souvent insaisissable.
La pureté de l’image ne souffre d’aucune vibration subjective, car il ne s’agit pas pour le poète d’exprimer sa sensation, mais qu’elle exprime. »
François Chapon