« Te voici dans l’air bleu
des forêts intérieures
Les mots oublient leur absence
un visage s’éclaire
Dans la voix survenue
le silence est sillages. »
Fernand Verhesen
« Te voici dans l’air bleu
des forêts intérieures
Les mots oublient leur absence
un visage s’éclaire
Dans la voix survenue
le silence est sillages. »
Fernand Verhesen