Saisir sans comprendre

« Ecrire, c’est peut-être risquer une parole en-deçà de la question, avant ce qui deviendrait question si l’on travaillait dans l’ordre de la pensée (…). Saisir sans comprendre ? La formulation ne va pas, mais ce qu’elle vise est juste. Il s’agit bien de saisir un mouvement de vivre, comme un remous, une convulsion, un soubresaut, une tension brusque… »

Antoine Emaz

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