« Tu frappes à chaque porte
tu demandes le seuil de la blessure
ta langue est une lampe
agitée par un souvenir de vent d’épines
parfois
ta main effleure une épaule
une ombre qui n’est pas la tienne marche
près de toi. »
Rabah Belamri
« Tu frappes à chaque porte
tu demandes le seuil de la blessure
ta langue est une lampe
agitée par un souvenir de vent d’épines
parfois
ta main effleure une épaule
une ombre qui n’est pas la tienne marche
près de toi. »
Rabah Belamri