« Les vagues noires
Du jour
Ont inondé tes terres
Dessiné une géographie de mer
Dans tes yeux
Laissé affleurer leur dépôt de sel
Aux déclinaisons des mots
L’écriture te porte aux courants d’arrachement
Tu respires comme un noyé
C’est un air retrouvé
Un invisible matériel
Le corps du chant brassant les Grands fonds
Ainsi racontant
Tu tentes encore et encore
Abyssale
Ton ultime nudité. »
Cédric Migard