« L’entrée,
la brèche, il repousse les ronces, il accepte en larmes
la main qui l’invite. L’enfant n’a pas vieilli,
qu’il tutoyait. Il n’ajoutera aucun mot,
ceux qu’il ne savait dire, le poème les souffle. »
Pierre Dhainaut
« L’entrée,
la brèche, il repousse les ronces, il accepte en larmes
la main qui l’invite. L’enfant n’a pas vieilli,
qu’il tutoyait. Il n’ajoutera aucun mot,
ceux qu’il ne savait dire, le poème les souffle. »
Pierre Dhainaut