Devant la page blanche

« De quoi l’écrivain a-t-il peur devant la page blanche ? Qu’est-ce qu’il risque en écrivant les premières phrases, les premiers mots ? Quelque chose d’irréparable, peut-être ?

(…)

Ce qui rend l’écriture redoutable, c’est qu’elle est à la fois acte, confrontation et jugement… L’écriture est une variété exceptionnellement intense de la vie.

(…)

Devant le papier blanc il n’y a que notre espérance qui soit plus grande que notre peur. »

Janos Pilinszky

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