« Dans cette ville où tout se vend je suis le vent je suis la marge.
Je vais où m’entraîne le chant. Oiseau libre je prends le large.
Le verbe est semblable à la mer. Il a le goût salé des larmes. »
Marc Alyn
« Dans cette ville où tout se vend je suis le vent je suis la marge.
Je vais où m’entraîne le chant. Oiseau libre je prends le large.
Le verbe est semblable à la mer. Il a le goût salé des larmes. »
Marc Alyn