Pour que le poème soit

« Il suffirait d’une braise d’amadou

Pour que le poème soit.

De même que l’homme qui chercha à allumer

Le premier feu,

Dedans mon nid d’herbes sèches et de mémoire

Il me faut encore et encore

D’un silex percuter la marcassite. »

Cédric Migard

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