Daily Archives: 11 mars 2018

La parcelle intacte

« J’écris pour le salut. Il me semble que par la poésie et contre la culture, on parvient à protéger en soi et de soi la parcelle intacte, celle – émotion ou pensée – dont seule la langue est comptable : puisque … Lire la suite

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Le poète et son enfant

« Et pourtant mon amour il y avait ce cheval Avec son long hennissement d’azur Et toi tes jambes fortes A nouveau les voici marchant dans les prairies Par les rues de la ville Ni toi ni moi ni le cheval … Lire la suite

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Limpidité

« L’arbre écrit sa limpidité sur la route. » Salah Stétié

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La poésie dans ses racines d’arbre

« La poésie dormait dans ses racines d’arbre (…) Agrippée au désastre de la parole Pour ce naufrage où la terre est consolatrice. » Salah Stétié

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Une autre haleine

« Le visage, nous l’offrons à l’inconnu qui nous précède Par vagues infaillibles, la nuit a libéré l’espace où se multiplient les oiseaux, tous portent des noms de vents. Tenir parole, ce que cela veut dire, nous le devinerons en évitant … Lire la suite

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Langue des nuits ou des souffles

« Ne nous en prenons pas à l’invisible, nul visage, en fait, ne s’évanouit. Si nous sommes aveugles, c’est à force de nous taire. Ne resterait-il que le mot silence, nous l’arracherions au silence, résolument, nous redeviendrions à travers la maison … Lire la suite

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Qui dira les mots

« Et qui dira les mots sera ce jour l’aimant Pour attirer le corps du feu. » Salah Stétié

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La mer foisonne

« Tu écris l’encre s’épuise la mer foisonne. » Georges Séféris

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