« Il nous faudra pousser les portes d’une épaule ou arracher les gonds. Les mots coincent dans le chambranle des phrases. On n’écrit plus en aiguisant le sens, on se contente plutôt de haïkus trop faciles. On refuse de répondre aux questions des enfants… Quand le livre est fini, on reste prisonnier des dernières paroles. »
Jean-Marc La Frenière