« Sourire du corps. Sourire de la terre. Les mots se sont imposés à moi, mais j’ai su aussitôt que je n’en ferais que lentement, très lentement le tour.
Il faut une vie parfois pour connaître notre parole. Peut-être même son sens ne nous est-il donné que par éclairs ou plutôt, par nécessité. »
Jean-Pierre Spilmont