« Toute terre nue est un seuil
d’un si faible poids
que le chant l’élève
quand elle n’accède plus
à l’air et au ciel…
De toutes les vagues du cœur
du versant de l’être
à ouvrir et comprendre
le coryphée du visage
annonce
comme l’ange du voyage
ou la vigie de l’obscur traversé
que le temps est plein
de notre rencontre. »
Michel Eckhard Elial