« Un simple courant d’air
Un chantier corporel
Une coulée d’encre
Versée au ras du sol
La poésie s’achève
Un coude de phrase opère
Les doigts croisés
Pas plus
La vie qui se réveille
Un trou lessivé d’être…
On vient
J’existe au bord des lèvres. »
Didier Cahen