« Il a osé
Appeler où il n’y a personne
Osé marcher sur l’étang de la page
Et n’a pas été englouti
Ne s’est pas noyé
Les forces de gravité
Poussaient dans le sens du mystère
Inverse il avançait à l’envers du monde
Les pierres rondes et les algues
Se disputaient joyeusement la place aux oiseaux
Le vent dissipait les nuages des fonds remués
Pour une clarté nouvelle
Un ciel lisible. »
Cédric Migard