« Nous apprenons à taire une voix souterraine,
à sceller de nos mains la blessure têtue,
l’aube de notre nuit se recouvre d’écailles
et la mue de nos yeux a des reflets de boue. »
Pierre Maubé
« Nous apprenons à taire une voix souterraine,
à sceller de nos mains la blessure têtue,
l’aube de notre nuit se recouvre d’écailles
et la mue de nos yeux a des reflets de boue. »
Pierre Maubé