« A la seconde où tu m’apparus,
mon cœur eut tout le ciel pour l’éclairer.
Il fut midi à mon poème.
Je sus que l’angoisse dormait. »
René Char
« A la seconde où tu m’apparus,
mon cœur eut tout le ciel pour l’éclairer.
Il fut midi à mon poème.
Je sus que l’angoisse dormait. »
René Char