« Intermittents interstices où la vie se révèle.
Chat perdu, douleur tue, anciennes lettres relues,
Visages réapparus, rires et pleurs, seringa
D’un soir d’août perpétuant le paradis perdu. »
François Cheng
« Intermittents interstices où la vie se révèle.
Chat perdu, douleur tue, anciennes lettres relues,
Visages réapparus, rires et pleurs, seringa
D’un soir d’août perpétuant le paradis perdu. »
François Cheng