« Une fenêtre s’est ouverte dans mon cœur, je me suis assis longtemps à cette fenêtre. J’ai vu une centaine d’océans à travers la fenêtre, la source de mon cœur a rejoint les océans. Puisque je n’ai pas pu résister, je me suis noyé à cause du poids de la pêche tombée dans mon filet. »
Farid-ud-Din Attar