La nuit entière

« Alors j’ai reculé sous les porches abîmés.

Dans le silence la lune s’est recroquevillée en moi

— et j’étais la nuit entière

aux serres fastueuses de rocher prêtes à déchiqueter l’humain silence. »

Tristan Tzara

Cet article a été publié dans Poésie, Théorie. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire