« Il faut parfois
Beaucoup de lointain
Pour aller de la chambre
Jusqu’à l’étang.
Toujours le vent
Trouve à redire,
À lui-même
Surtout.
Si l’on entendait
Le travail des radicelles,
Qui s’endormirait ?
Dans le buisson,
Des yeux de chevreuils ou de papillon.
Il allait seul
Dans les allées,
Abandonné
Par son enfance. »
Eugène Guillevic