« Tu brûles plus pour le centimètre qui sépare ton corps du corps de cet homme, dans le noir de cette salle de cinéma, que pour cet homme lui-même. Tu es amoureuse du moment, de l’idée de baiser, de l’idée de baise, amoureuse des interstices dans lesquels ton désir tourne fou. Tu as besoin de ce centimètre, besoin de ce vertige, de cette douleur, de cette incertitude. Ton écriture aussi en a besoin. Surtout, ton écriture. »
Lisette Lombé