Il fallait l’attente mûrissante

« Tu fouilles dans la haie
et tu arraches des fruits sauvages

Ils ont une âpreté qui mord
il leur fallait l’attente mûrissante
d’un jour d’hiver

Mais toi, tu t’es jeté sans attendre
dans les verbiages du buisson. »

Claude Albarède

Cet article a été publié dans Poésie, Théorie. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire