A lents coups de rames

« Difficile de faire taire les mots à l’intérieur du langage ou de les en éloigner. Je voudrais avancer à lents coups de rames en ne gardant que quelques verbes aux allures primitives, ceux qui nous font respirer lorsque notre chemin nous déroute. Je suis un amateur d’éphémère et de paperoles.

Ce qui aura lieu ne sera qu’un récit de nomade. »

Jean Prod’hom

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