Ne pas subordonner notre vie

« Un moment le matin lorsque la rosée et le vent jeune s’attardent sur le pré et la peau, et qu’on a la naïveté, le courage aussi de ne pas subordonner sur le champ notre vie à ce qu’elle devrait être… »

Jean Prod’hom

Cet article a été publié dans Extraits, Poésie, Théorie. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire