« Blanche. Toute blanche. Pour peu de temps.
J’aime cette page que tu traverses, où tu te promènes avec l’enfant.
Dans le bois, derrière le cimetière.
Un sentier nous glisse entre les doigts mais nous n’avons que nos mains à prendre.
Nous nous régalons d’une grappe de raisin.
Personne.
Même pas un chien.
L’enfant regarde un nuage, en rêvant.
Tout s’est déplacé, d’un coup, le temps que nous passions.
L’un contre l’autre. »
Thierry Metz