« Ce silence
pour moi
sera ma leçon
et mon lit.
Car c’est ici qu’écrire m’attend — d’être plus ou moins ce que je suis,
me hissant jusqu’à faire ce dont je suis capable.
Je n’appréhende rien de plus extrême
que de ne savoir vivre avec ce que j’ai,
qui souvent me manque, qu’il en soit de cela comme du reste.
Un arbre sans feuille.
La route indiscernable.
La trace perdue d’être ici.
Je me réchauffe autour de ces braises. »
Thierry Metz