« M’intéressent toutes les strates de la réalité de vivre. Elle m’est toujours apparue comme feuilletée, étagée… Chaque poème s’écrit à un niveau d’être ; parfois, s’écrivant, il glisse d’un niveau à l’autre, ça circule. Et c’est très bien ainsi, pourvu que l’écriture cimente le tout… Je me déplace dans un espace de vivre sans hiérarchie : une pensée de Pascal vaut une odeur de javel, une lumière sur le mur vaut un deuil. Un poème, c’est simplement un moment, un événement, une langue, et le tout, à vif. »
Antoine Emaz
bonsoir et merci j’ai envie de dire les jours se suivent mais ne se ressemblent pas:)j’aime ceci:, et le tout, à vif. »
tellement vrai!