« Dans le passage de notre souffle mortel
les mots tracent le sens que nous espérions rencontrer
en explorant du regard chaque soir, chaque matin…
La bouche ouverte boit
le vent pluvieux toujours resurgissant,
le vent qui vient d’ailleurs
et porte en soi comme une absence
le silence pareil au germe jaillissant. »
Claude Vigée