« Devant la porte je ne balaie pas la neige,
Sur les tuiles je ne m’occupe pas du givre.
Le printemps passe sur l’étang, sur la pente
Où la libellule baise le parfum profond de l’herbe…
A la hâte elle fait un joli nœud,
Puis comme prise d’une illumination
Là où personne n’est allé, elle s’en va s’effacer. »
Zhou Mengdie