« Un chemin de mots
Fit de tes yeux
Des oiseaux
D’un geste d’encre
D’un coup d’ailes
Il fallait franchir les déserts, les dépotoirs
Il fallait trouver la maison
Il fallait étancher la soif
Un peu d’eau fraîche
Dans le bol fêlé du cœur
Qu’une main déposait
Chaque matin
Sur le seuil de l’éternité. »
Cédric Migard