« Le temps me tire le cou vers un bosquet de mots, les images perdues, une vision de veille, une forêt de sons. Les jours passent en quêteux. Les bêtes se relèvent dans l’orgueil du cri. (…) La pluie dénoue ses doigts dans les sources taries. La seule ligne infinie est pointillée de mots. »
Jean-Marc La Frenière