« Voici un poème dont le centre se trouve dans chacune des parties et dont le tour couvre l’étendue du continent américain ! Paysage vaste pour se livrer à une expérience grâce à laquelle sera reconnue une beauté jamais voulue pour elle-même. Et chaque fraction d’espace génère, ici, sa forme de poésie.
La fable et la réalité s’interpénètrent dans un voyage à travers temps et espace, un voyage qui fait surgir en nous le sens intérieur de la faune, de la flore, des éléments, des choses. »
Eugène Guillevic