« Nuit qui reçoit chaque oiseau comme un baiser sur la joue…
Instants noircis comme dans une vigne : je piétine mes mots, pieds nus, étant le seul récipient, sans fond. »
Thierry Metz
« Nuit qui reçoit chaque oiseau comme un baiser sur la joue…
Instants noircis comme dans une vigne : je piétine mes mots, pieds nus, étant le seul récipient, sans fond. »
Thierry Metz