La mer vivante

« La science n’étouffe pas le chant de l’océan dans les coquillages. Savoir qu’on y entend les vibrations de sa propre oreille ne réfute pas les vagues qui roulent en nous leur nostalgie…

Le réel ne condamne pas la poésie. Il l’appelle, comme le vent la voile lui donnant force, le savant la formule qui creuse l’infini, notre mémoire des coquillages pour désirer la mer vivante. »

Michel Baglin

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