L’encre et l’image

« L’encre et l’image se retrouvent solidaires et alliées
Comme l’oubli et la trace
Au début des années obéissantes

Et le jais noir de la toute jeunesse
Et la turquoise bleue de l’être-adulte
Et l’abalone jaune du néant qui ne se conçoit ni ne se dit
Et la coquille blanche de la résurrection
S’enroulaient autour des bruits tranquilles et quotidiens. »

Jacques Roubaud

Cet article a été publié dans Extraits, Poésie, Théorie. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire