« Ma poésie je crois a puisé à la terre natale
— un bled perdu, des champs, des pâtures, peu de bois, des fermes, quelques rues —
la sève du silence des granges,
le silence des sillons longés pour désherber,
la patience de mains faites pour le pis des vaches,
l’odeur des blés, des herbes, la solitude immense pour des yeux curieux.
Ma poésie vient de cet enfant-là. »
Philippe Leuckx