« Pour échapper au nul, au rien,
pour qu’il ne s’ouvre plus au bout,
pour qu’il n’efface pas la fin.
Pour transformer l’obscur en jour…
Franchis le porche de ce cœur
qui te soulève avec la mer. »
Jean Mambrino
« Pour échapper au nul, au rien,
pour qu’il ne s’ouvre plus au bout,
pour qu’il n’efface pas la fin.
Pour transformer l’obscur en jour…
Franchis le porche de ce cœur
qui te soulève avec la mer. »
Jean Mambrino