« Il n’est plus une fleur du jardin
que l’on ne goûte
au sang du soir.
Les corps silencieux
dans le hallier
défont
leur couronne d’épines.
Dans l’obscurité
s’attardent
leur patience
leurs genoux
leurs secrets
dans la terre. »
Cédric Migard
« Il n’est plus une fleur du jardin
que l’on ne goûte
au sang du soir.
Les corps silencieux
dans le hallier
défont
leur couronne d’épines.
Dans l’obscurité
s’attardent
leur patience
leurs genoux
leurs secrets
dans la terre. »
Cédric Migard