« Il y a le cri
et tout l’obscur qui le précède.
Il y a la peur,
les phrases consumées.
Il y a le cœur
qui bute, qui reprend,
qui cesse.
Il y a le corps
avec ses portes noires refermées.
Mais il y a, plus loin,
le risque d’une fleur qui monte.
Qui dit non
à la nuit. »
Claude Esteban