Le plus étranger

« C’est le plus étranger qui à présent m’est cher !
Reste froid, mon cœur ! La main ferme sur la barre !
Et devant moi la mer – et une terre ? – une terre ?

Tout m’est sans cesse plus nouveau,
Loin devant moi brillent espace et temps
Et le plus beau de tous les monstres,
L’éternité, me sourit. »

Friedrich Nietzsche

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