C’est toi qui descends mot à mot

« Lorsque tu passes dans ma nuit
comme la lune
entre les branches,
vite, je dresse la lyre du poème ;
je m’apprête à grimper
un à un les degrés
de mes vers, et c’est toi qui descends
mot à mot
dans les miens. »

Gilles Baudry

Cet article a été publié dans Poésie, Théorie. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire