« Il y a…
sous nos paupières des ciels si clairs
qu’aucun chagrin ne peut tenir
et sous le fer de nos masques
la liberté enclose et l’amour enfui.
Je voudrais l’envol des oies sauvages
retenues dans nos gorges
et tous les vents du sud à nous étreindre
et nous embarquer vers la mer. »
Patricia Ryckewaert
Joli !