« J’aurai l’amour d’aimer
Et je prendrai le temps.
Le temps d’un sein nu sous une chemise.
Le temps d’aimer les roses sauvages,
L’abeille et le rossignol.
Le temps d’aimer les immortelles
Au vent du large.
Et surtout, et surtout,
Le temps d’aimer les mots
Parce que la poésie commence
Là où le dernier mot
N’appartient pas à la mort.
Je trouverai
Les mots qui sauvent. »
Tristan Cabral